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¤ Assassin amérindien en quête de liberté.

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Connor Kenway
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Connor Kenway
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Date d'inscription : 12/05/2011

Feuille de personnage
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MessageSujet: ¤ Assassin amérindien en quête de liberté. ¤ Assassin amérindien en quête de liberté. Empty26.01.13 0:36


Connor
Kenway

• Surnom : Aucun.
• Âge : 17 ans.
• Taille/Poids : 1m82 - 75kg
• Groupe : Assassin.
• Grade : Grand Master.
• Métiers : Guerrier + Capitaine + chasseur d'animaux
• Spécialisations : De tout.
• Disponibilités : Autant que possible.
• Comment avez-vous connu Assassin's History? : Fondateur

• Description mentale : Si l'on demandait un jour à ce jeune homme comment il décrirait sa personnalité, il dirait qu'il est d'abord un homme d'honneur. Son honneur lui vient d'ailleurs de son peuple, les Mohawks, des indiens vivant dans la Frontière entre New York et Boston mais aussi au Canada. Comme eux, il est extrêmement fier, droit, il suit les traditions de son peuple et respect la nature comme personne, et il a un grand sens de l'honneur qui le conduit à tenir ses promesses ou délivrer les personnes subissant une injustice de leur bourreau. Oui, c'est dans doute cela qui lui conviendrait le mieux : l'honneur. Son côté indien est responsable de plusieurs choses chez lui, notamment son côté assez réservé : il n'est pas du genre à se confier, à parler durant des heures ou à montrer ses sentiments, il est plutôt distant et parfois même froid, cela lui rajoute un certain charme mais peu lasser à force. Sa gentillesse, il la tient de sa mère, comme elle il est prêt à donner sa vie pour quiconque le mériterait. Est-ce de la gentillesse, une tendance au suicide, de la générosité ou de la dévotion, il ne saurait le dire mais ce doit être un beau mélange. Il tient d'elle aussi sa méfiance pour les hommes blancs, détestant leur façon de traiter son peuple où les hommes à la peau noire, en fait on peut dire qu'il avait le crédo des assassins ancré en lui depuis longtemps et, plus précisément, depuis le jour où il a vu sa mère mourir dans les flammes à cause de Charles Lee. Sans savoir que c'était un templier, il le détestait déjà et voulait se venger de ce qu'il lui avait fait. Voir sa mère périr ce soir-là n'avait fait que rendre sa haine pour cet homme plus grande encore jusqu'à la voir devenir absolue, ou presque.

Guider par la haine? Peut-être est-ce aussi une de ses caractéristiques mentales. Il s'emporte vite, fonce souvent sans réfléchir et crois impunément que son talent suffira à le mener vers la victoire ou, tout du moins, jusqu'à l'accomplissement parfait de ses objectifs. C'est un de ses défauts, comme sa naïveté. Ses ancêtres, tel que Ezio Auditore, étaient eux aussi un peu naïf à leurs débuts, les emmenant dans de sombres chemins comme la perte d'un oncle ou d'un rang ; un trait familial qui se perd rapidement. Chez Connor, cela semble être un peu plus long puisqu'il va souvent défier les directives de son mentor, ne l'écoutant que très peu. S'il suivait un peu mieux ses enseignements, il irait sans doute au bout des choses pour accomplir son destin avec brio. On peut ainsi dire qu'il est arrogant, en un sens, il croit sans doute trop en sa force et en lui-même pour voir ses défauts. Pourtant, c'est un être assez crédule qui va boire les paroles de son interlocuteur sans développer aucun sens critique. Nul doute qu'il évoluera, reste à savoir quand finalement.

Tout ces défauts n'en font pourtant pas un lâche. C'est un homme courageux parfois trop téméraire, certes, mais il est prêt à prendre les armes pour une cause, perdue ou non. On peut aussi lui faire confiance, il n'est pas de ceux qui abandonnerait ses compagnons, son ordre, ni ses principes. Esclaves, indiens, contraints d'obéir aux templiers, ces trois catégories sont pour lui équivalente même s'il se préoccupe plus de la dernière pour l'heure. Avant de libérer les esclaves ou son peuple, il doit s'assurer de libérer la ville car en vérité, libérer des esclaves pour qu'ils soient soumit à l'autorité des templiers n'en fait pas plus des hommes libres...


• Description physique: Sans surprise, ce jeune indien de dix-sept ans à la carrure d'un jeune homme en pleine santé. Une musculature tout juste assez développée pour le rendre fort. Ses muscles sont travaillés depuis des années de manière plus ou moins consciente. Depuis sa jeunesse, il ne cesse de les développer pour être capable de courir rapidement, grimper aux arbres, chasser des proies aussi robustes que fortes mais aussi être capable de rester immobile durant un certain temps dans des positions inconfortables comme en étant suspendu. Ces années de pratiques lui ont permit d'avoir un pas sûr et franc, sans hésitation ni crainte. S'il glisse alors qu'il est en train de sauter aux branches d'un arbre, trahit par ses jambes, il sait que ses bras seront assez puissant pour le rattraper d'une chute mortelle. Sa carrure est donc assez imposante, loin de la plupart des jeunes hommes blancs de son âge d'ailleurs. Sous sa capuche et cette tenue d'assassin, il semblerait presque bien plus âgé.

Mais sous cette tenue d'assassin, on découvre justement un jeune homme plein de vie. Ses yeux, marrons, ne transmettent pas une grande joie de vivre, sans doute à cause de son vécu mais, il n'en reste pas moins débordant d'énergie. Sinon, d'un point de vu physique, il a un visage assez... carré. En fait, on pourrait dire qu'il a un visage en forme de carré avec néanmoins une certaine rondeur au niveau des joues, un mélange complexe qui n'en reste pas moins assez charmant. Brun, il a les cheveux un peu longs, attachés en queue de cheval — comme s'il allait la perdre cependant tant elle fait un négligée — et il a une tresse indienne sur le côté gauche.

Sinon, il a un collier avec des griffes de pumas ou de lynx au vu de la taille et la tenue officielle des assassins bien sûr, dans un blanc-beige et bleu.



Continent américain, 1760, Vallée Kanien'kehá:ka
Voilà environ cinq ans que Haytham Kenway a réussit à accéder à un lieu pourtant interdit aux hommes blancs, un endroit gardé d'une tribu indienne nommée Mohawk. Aujourd'hui, dans une maison de bois du camp de cette tribu, un jeune garçon regarde un livre lui étant pourtant interdit. Surpris par sa mère, le jeune garçon de cinq ans nommé Ratohnaké:ton jeta la cahier un peu plus loin, feintant l'ignorance en tentant de duper un peu sa mère. Bien sûr, Kaniehtí:io n'était pas née de la dernière pluie, elle savait qu'il tentait d'en savoir plus sur son père, cet homme britannique qu'il lui avait donné un enfant sans le savoir ; elle ne lui avait pas vraiment laissé le temps de le deviner, l'ayant rejeté juste après l'acte...

Compréhensive, elle commençait déjà un petit discours moralisateur destiné à son fils mais, heureusement pour ce dernier, ses copains vinrent les interrompre après déjà quelques secondes de discussion. S'amuser, c'était un loisir auquel tout enfant devait s'adonner. Les laissant partir à l'aventure, elle remettait sans doute à plus tard une petite discussion. Sans attendre, Ratohnaké:ton partit s'amuser dans la vallée. Traversant le village, ils furent prévenu par de nombreux adultes : ne pas s'éloigner, ne pas rentrer tard, ne pas sortir de la vallée, des choses qu'ils avaient entendu à maintes et maintes reprises mais qui semblaient toujours essentielles pour leurs parents. Néanmoins, malgré ces restrictions ils n'étaient pas prêts de s'arrêter ou même d'être effrayés, en arrivant d'ailleurs un peu plus haut sur la vallée, ils s'arrêtèrent. L'un d'eux prit des bâtons pour jouer à la courte paille, ce fut Ratohnaké:ton qui perdit en premier. Obligé de compter jusqu'à cent, il allait devoir traquer ses camarades dans un petit cache-cache.

Le décompte terminé, il se lança à leur recherche en analysant chaque indice laissé, chaque pas. Bien sûr il les retrouva, sans faire d'erreur, puis un second « loup » fut désigné par le même système. Un ami prit la mauvaise brindille et tous partirent se cacher. Toutefois, avant même qu'on ne puisse le trouver des hommes vinrent à lui. La peau blanche, ils n'étaient pas de la tribu et l'un d'eux prit Ratohnaké:ton par le cou, l'étranglant et le plaquant contre un arbre. Cet homme voulait connaître l'emplacement exact de sa tribu, pour des affaires apparemment. Les Mohawks semblaient lui devoir une chose, il voulait la récupérer. Pour autant, Ratohnaké:ton ne parlait pas, refusant de trahir les siens en crachant sur son agresseur, lui ordonnant de le lâcher. Lorsque, enfin, il finit par le lâcher en signe de clémence disait-il, sa petite victime lui réclama un nom : Charles Lee. Ce nom resterait à jamais gravé en lui ; il voulait se venger. Mais cette vengeance allait arriver plus tard car l'indien reçu un coup de crosse et s'évanouit pour de longues heures...

À son réveil, le jeune garçon était plutôt sonné et titubait un peu en voulant marcher. La nuit était tombée et il savait que des loups pouvaient venir par ici, il devait se dépêcher. Cependant, plus il s'approchait de son camp, plus les alentours s'éclairaient et, lorsqu'il réussit à revoir correctement en arrivant vers l'entrée, il ne vit que la désolation et le drame : tout était en feu ! Courant aussi vite qu'il pouvait vu son état, il tentait de rejoindre sa maison, sa mère. Le feu ne pouvait l'arrêter ni même les bouts de bois devant lui, il les soulevait, passait en dessous, faisait un détour lorsque les flammes étaient hautes, pour arriver finalement devant elle, ensevelie au niveau des jambes, condamnée. Bien sûr, tout bon fils tenterait d'aider l'être qui compte le plus au monde pour lui, et Ratohnaké:ton n'échappait pas vraiment à cette règle. Du mieux qu'il pouvait, il soulevait le bois sur sa mère : trop lourd, il n'était pas assez fort... Sa mère lui fit donc ses adieux, le priant de la laisser là mais un homme vint le prendre, ne lui laissant pas le choix. Derrière lui, le bâtiment finissait de s'écrouler pour laisser Kaniehtí:io, surnommée Tsio, mourir dans les décombres et les flammes...


Continent américain, 1769, Vallée Kanien'kehá:ka
Neuf années se sont écoulées depuis ce tragique accident — bien que ce ne soit en rien le fruit du hasard — où Ratohnaké:ton perdit sa mère. Ce soir-là, plusieurs jeunes enfants perdirent des proches, des amis, il n'y eut en effet pas qu'une victime dans ce désastre et la haine des indiens envers les hommes blancs devenait peu à peu réelle. Heureusement, cela n'en était pas encore au point d'engager des représailles, cet incident semblait être isolé pour l'instant alors les indiens se contentaient d'être dans leur camp, en paix.

Ratohnaké:ton, lui, avait grandit pendant ce temps. À présent âgé de quatorze ans, il était temps pour cet adolescent d'apprendre les choses que tout indien devait savoir et, pour son partenaire, d'en faire de même. Un heureux hasard voulu que Ratohnaké:ton soit celui réussissant le mieux à grimper aux arbres, trouver des indices et, pour son ami, il était facile de chasser. Les deux se complétaient tout à fait, ils apprirent donc ensemble. L'un apprit à grimper aux arbres à l'autre pour obtenir des oeufs et des plumes, puis l'autre apprit à l'un à chasser avec des collets, des flèches, ou encore le Tomahawk. Ce fut un moment de franche camaraderie qui fut toutefois interrompu lorsqu'un ours se mêla à la cette fête en attaquant les deux jeunes gens. Miraculeusement, l'ours n'avait apparemment pas très faim puisqu'il ne fit qu'attaquer : un seul assaut et il s'enfuit.

À son retour, Ratohnaké:ton revu son ami à l'entrée, celui disant qu'il lui avait sauvé la vie. Puis, tout les deux entrèrent dans le camp après cette forte dose d'adrénaline. Ratohnaké:ton se dirigea vers une maison de bois où un rassemblement des siens se faisait, apparemment il était temps pour lui de connaître son destin, de devenir un homme. Il entra donc dans le bâtiment de bois pour rencontrer une ancienne du village, près d'un feu. Une discussion commençait entre les deux protagonistes. La vieille femme expliquait à cet adolescent pourquoi les indiens ne quittaient pas ces terres malgré la pression qu'exerçait les hommes blancs : le village était installé sur une terre sacrée qui possède un secret et, pour les indiens, il était impératif de le cacher à l'humanité. Néanmoins, la vielle femme ne divulgua pas vraiment ce secret et Ratohnaké:ton se demanda ce qui pouvait les retenir autant, au point même de risquer la vie de leur propre peuple. C'est alors que son interlocutrice prit une boite en bois dans lequel un mystérieux artéfact reposait. Ressemblant à la pomme d’Éden, cet objet était comme une reproduction de verre ou de plastique de l'original. Selon l'ancienne du village, ce serait une « porte ».

Rapidement, au contact du jeune indien, un univers noir et or apparaissait devant lui, l'envoyant comme dans une autre dimension où il serait seul au milieu de ce décor : la vieille femme ayant disparut. Une voix se manifesta alors, lui souhaitant la bienvenue, puis une femme apparut. Cette femme avait bien des noms mais elle fut aussi connue sous le nom de Junon et, selon elle, il se trouvait à présent dans le Nexus. Cet univers étrange n'était pourtant ni une illusion, ni une autre dimension, en fait il n'avait apparemment pas bougé d'un centimètre depuis qu'il s'était assit près du feu et de cette vieille femme. Ce portail n'était fait, d'après Junon, que pour prédire la destinée des gens — de son peuple notamment —, en particulier de Ratohnaké:ton. Bien sûr, tout ceci était complexe à comprendre, à imaginer même, alors cet esprit de la Première Civilisation décida de le changer en « esprit » à son tour, lui donnant la forme d'un aigle, apparence qu'elle prit aussi. Ensemble, ils parcouraient les terres tandis qu'elle lui expliquait sa destinée. Selon ses dires, des forces se rassemblaient dans le plus grand secret afin de prendre ses terres mais, si ces personnes y arrivaient, alors ils trouveraient le Sanctuaire et il serait violé : ce serait la fin. D'après elle, la lignée de Ratohnaké:ton était spéciale, tant le passé, le présent que le futur seraient liés à lui, à ses choix. Toutefois, actuellement il n'était pas prêt à assumer cette tâche, tant mentalement que physiquement, alors il devrait trouver une personne capable de lui enseigner ce qu'il devait savoir ; en outre, comment se battre par exemple. Garder la voie qu'il suivait serait en tout cas dangereux : elle mettrait son peuple et lui en danger. Il devait donc trouver l'homme qui répondra au symbole qu'il avait vu, le symbole des Assassins.

Après cette longue discussion, Ratohnaké:ton se réveilla au milieu de la forêt. Il avait quitté son camp, sa vallée peut-être même, mais l'ancienne de son peuple l'attendait. Ensemble, ils discutèrent. La vieille femme comprit les désirs de cet « esprit », lui indiquant qu'elle était d'accord pour qu'il quitte leurs terres, il devait chercher ce symbole. Elle lui indiqua alors où elle l'avait déjà vu, le laissant ensuite partir quand bon lui semblerait...


Continent américain, 1769, la Frontière
Le jeune adolescent avait maintenant trouvé un objectif à atteindre, il connaissait sa voie, son destin. Bien sûr, il lui fallait toujours trouver le symbole si mystérieux que lui avait montré l'esprit et, via celui-ci, un homme capable de lui montrer le chemin. Ce fut un long voyage de ses terres natales jusqu'à la Frontière, puis un mystérieux domaine prénommé « Domaine Davenport » mais il réussit à trouver l'homme qu'il cherchait. Il frappa donc à la porte, un vieil homme à la peau sombre lui ouvrit mais, sans chercher à en savoir vraiment plus, lui dit de repartir alors que Ratohnaké:ton ne lui avait pas demandé grand chose, si ce n'était rien. Le jeune adolescent promit cependant de ne pas partir tant qu'il ne l'aurait pas entendu.

La nuit commençant déjà à tomber, il s'aventura un peu plus loin de la maison pour trouver des écuries vides dans lesquelles il trouva un refuge, à l'abri de la pluie avec un peu de chaleur. Le lendemain, comme promit il fut de retour, toquant à la porte. À nouveau il fut rejeté sans ménagement et, voulant à tout prix accomplir son destin, le jeune indien finit même par monter à l'étage. Dehors, sur un balcon, il toquait à la porte en espérant attirer l'attention de l'hôte de ces lieux mais fut brusquement interrompu par celui qu'il cherchait. Il venait d'ouvrir la porte, il avait sa chance, mais en un rien de temps il fut maîtrisé, mis à terre. Ce vieil homme lui montrait une démonstration de force, lui indiquant que s'il voulait devenir un héros, il pouvait passer son chemin...

Pourtant, Ratohnaké:ton ne se décourageait pas, il repartit dormir dans l'écurie. La pluie tombante ne le gênait pas malgré le bruit qu'elle pouvait faire, ce fut en vérité des voix qui le réveillèrent. Là, quelques bandits s'étaient rassemblés et d'après leur discussion, ils souhaitaient jouer un tour au vieil homme. Sans hésiter, Ratohnaké:ton sortit de sa cachette pour défendre l'homme en se battant avec ces brigands. Quelques coups plus tard, il avait mit un petit paquet d'entre eux à terre mais il fut surpris par derrière, prit en otage, prêt à être exécuté. Heureusement, le vieil homme fit son apparition et assassina proprement le sbire restant et l'homme tenant l'indien entre ses mains ; le tout via une lame secrète.

Après avoir comprit la détermination et, peut-être, le potentiel de ce jeune indien, le vieillard l'invita enfin à entrer pour qu'ils puissent discuter. L'adolescent attendit un moment puis se décida à le suivre, à le rejoindre dans une pièce qui laissait penser que personne n'habitait là depuis longtemps : le mobilier était recouvert d'un drap blanc et ceux qui n'avaient pas cette chance étaient plein de poussières. En voulant s’asseoir face à son hôte, il fut étonné de constater qu'au-delà du mobilier poussiéreux, celui-ci était aussi prêt à s'écrouler ; comme la chaise sur laquelle il voulait s’asseoir venait de le faire. Après avoir trouvé de quoi s’asseoir, une discussion commença enfin entre les deux hommes. Le vieil homme se présenta sous le nom de Achille avant de réclamer à ce jeune adolescent quelques explications sur sa venue, chez lui. Ratohnaké:ton lui expliqua qu'il était ici car il cherchait un certain symbole — qu'il montra en lui tendant une carte avec ce symbole, celui des Assassins — qu'un esprit lui avait montré. Le vieil homme ne fut étonné de rien, il précisa même que les esprits de son peuple ne cessaient de harceler les assassins depuis que Ezio Auditore avait frotté la lampe. Bien sûr, le jeune indien ne savait pas de quoi il parlait, Achille lui expliqua donc l'histoire des Assassins...

Suite à ce long récit, l'interlocuteur du Mohawk lui demanda de le suivre. Ensemble, ils descendirent dans une cave secrète de la maison — qui abritait autrefois des assassins — qui s'ouvrait via un chandelier accroché au mur. En bas, le fils de Haytham Kenway découvrit une tenue blanche et bleue d'assassin mais, il n'était pas prêt pour elle. Achille acceptera donc de le former pour qu'un jour il puisse être digne de la porter. Quelques secondes après, ils enlevèrent quelques planches de bois recouvrant un mur pour y découvrir plusieurs portraits : les templiers installés en Amérique et ayant une influence sur tout ce qui se passe. Sur ce mur, on pouvait voir sept hommes exactement : en bas les moins importants et en haut, le grand maître des Templiers en ces lieux, Haytham Kenway. Ratohnaké:ton savait qu'il était son père et qu'à présent, sa mission serait de le stopper, comme tous les autres.


Continent américain, 1770, Domaine Davenport
Six mois s'étaient écoulés depuis la rencontre entre Achille et Ratohnaké:ton. Ce dernier avait suivit un entraînement strict et rigoureux pour le préparer à devenir un assassin. Pour une leçon qui entrainait son corps, il y en avait toujours deux pour entraîner l'esprit. Se déplacer dans les arbres, manier une épée, apprendre la philosophie, la littérature, il reçut un entraînement complet afin de développer toutes ses capacités. Lorsqu'il eut terminé d'apprendre ces bases, voire plus encore, il fut décidé par Achille qu'il était temps de rénover le domaine. Afin d'avoir un lieu d'accueil convenable pour l'Ordre en Amérique, ils partirent ensemble à Boston chercher matériaux et matériels. Le vieil homme laissa son apprenti partir pour trouver de quoi les aider, quelques achats basiques à faire. Et ce fut à Boston que tout les deux décidèrent d'un nouveau nom pour Ratohnaké:ton. Il avait la peau assez pâle pour un indien, on pouvait donc le faire passer pour un espagnol, c'était toujours mieux que d'être un indien ou pire, un noir selon Achille. Ainsi, Ratohnaké:ton serait renommé Connor, Connor Kenway.

Une fois ses emplettes effectuées donc, Connor rejoignit son mentor mais la foule avait commencé à se déchaîner. Le vieil homme voulait comprendre ce qui se passait, ils allèrent ensemble à la Mairie, the Old State House. Là, ils virent un rassemblement de civils en colère tandis que les tuniques rouges tentaient de les contenir. Mais, plus important encore, à côté de l'entrée se tenait un homme... Haytham Kenway. C'était la première fois que le jeune indien voyait son père en vrai, qu'il pouvait ressentir sa présence, peut-être même l'entendre s'il s'approchait et tendait l'oreille. Cependant, son mentor lui rappela que ce n'était ni le moment ni l'endroit pour le rencontrer ou tenter de l'assassiner : Connor était encore bien trop jeune et inexpérimenté pour s'attaquer directement à une personne comme lui ! Alors il eut pour mission de suivre l'acolyte du Grand Maître ennemi. Il s'exécuta sans trop râler, puis après quelques minutes de marche ils montèrent sur un toit, l'homme tenait un fusil et visait la foule. Il fut heureusement tué par Ratohnaké:ton avant qu'il ne tente quoi que ce soit... malheureusement Charles Lee était sur le toit d'en face, il tira en l'air, les gardes eurent peur et firent feu sur la foule de civils, désarmés. C'était le 5 mars 1770 et chacun dans le futur appellerait ce jour « le Massacre de Boston ». Pour celui-ci, le jeune adolescent fut accusé, les gardes le poursuivirent, des affiches à son image était déjà distribuées dans toute la ville.

Finalement, lorsqu'il sera enfin à l'abri, loin des gardes qui le poursuivaient, il fera la rencontre d'un homme qui semblait le connaître, l'interpellant comme étant « le disciple de Achille ». Un peu méfiant, Connor le suivit et apprit beaucoup de lui. L'homme lui avait montré comment se déplacer sans crainte dans les sous-terrains de la ville, à retirer les affiches pour être moins reconnaissable, à soudoyer des crieurs afin de lancer de fausses rumeurs, et enfin, à payer les imprimeurs pour lancer de faux avis de recherche. Tout ceci n'était que mensonges, loin de toute justice, mais le jeune garçon de quatorze ans comprit vite qu'il n'avait guère le choix.

Son enseignement terminé, il retournait au domaine pour revoir son mentor qui, en un sens, l'avait abandonné là-bas. Après une petite discussion, ils furent tout deux interrompus par un homme frappant à une vitre et qui réclamait de l'aide. Sortant rapidement, il vit un homme d'une quarantaine d'années qui lui demandait assistance, disant qu'un autre allait mourir ! Cette future victime était tombée à l'eau, ne s'accrochant à la vie que par un tronc d'arbre dans l'eau. Une folle course s’enchaînait, puis le descendant d'un templier réussit à attraper l'homme à la dérive. Des remerciements plus tard, ils furent invités à rejoindre le Domaine Davenport : de quoi aussi avoir des charpentiers non loin, toujours mieux pour reconstruire une maison... D'ailleurs, juste après ce sauvetage Achille et Connor partirent à la rencontre d'un vieillard dans une cabane : cet homme possédait, selon ses dires, le bateau le plus rapide qui soit. Ce navire se nommait l'Aquilla et ensemble, ils allaient devoir le réparer. Tous trois avaient donc une nouvelle mission, redorer le domaine et le bateau, retrouver un symbole fort en Amérique pour les assassins, par un repaire et un moyen de naviguer dignes d'eux !


Continent américain, 1770, Domaine Davenport
Une demi-année s'étaient écoulée, passant d'un mois de début de printemps à la fin de l'été. Les choses avaient changées, évoluées, elles s'étaient même améliorées. Le navire que l'on nommait l'Aquilla était enfin prêt à reprendre la mer aussi calme qu'agitée, à montrer à tous à quel point sa vitesse était... légendaire. Connor Kenway, lui, avait beaucoup gagné en expérience, en force, en puissance. Il était devenu plus aguerri, plus rapide, plus fort mais il n'en restait pas moins jeune pour autant et il lui manquait encore un petit brin de sagesse, de maturité. Quant au domaine, il avait redoré un peu de son image même s'il était encore trop tôt pour crier victoire : ils étaient loin de pouvoir le dire terminé.

Mais tout cela donnait de l'espoir, et Ratohnaké:ton allait pouvoir inaugurer le navire dont il avait été désigné capitaine. Il prit donc la mer avec son « mentor » en terme de navigation, l'homme lui ayant cédé l'Aquilla. Ainsi, le jeune indien fut un mousse-capitaine qui tentait d'apprendre à diriger son navire : sans voile, demi-voile, toute la voile, jeter l'encre, tirer avec les canons, avec le petit canon amovible, tout ces termes ne devaient plus avoir de secret pour lui et, surtout, il devait les connaître pour pouvoir donner l'ordre de les effectuer. Ils se rendirent donc dans un port pour apprendre la première partie qui était de manier le bateau, là-bas ils trouvèrent quelques hommes et armements pour les aider. Pour s'entraîner dans un second temps, ils trouvèrent deux épaves de bateaux anglais et tirèrent dans un premier temps avec les canons, puis dans un second avec les petits. Les bateaux explosèrent déjà, ça ne passerait pas inaperçu. Deux bateaux anglais, plus une frégate, vinrent à leur rencontre mais furent détruits aussi vite qu'ils étaient venus. C'était un bon début, pour un jeune capitaine.

Le soir s'approchant, l'équipage fit route pour le domaine en espérant qu'il ne serait pas trop tard et que Achille ne tuerait personne à cause de cela. En rentrant d'ailleurs dans la maison, le vieil homme attendait le Mohawk. Ensemble, ils descendirent pour se rendre à la cave, il était temps pour Connor de porter la tenue qu'il avait tant admiré... Accompagné de celle-ci, un rituel ancien devait s'effectuer mais selon le vieil homme, ces cérémonies n'étaient pas faites pour des gens comme eux. Ce fut ainsi que Ratohnaké:ton, alias Connor Kenway, devint officiellement membre de l'Ordre des Assassins...


Continent américain, 1773, Domaine Davenport
Les années étaient passées depuis qu'il était devenu un membre de la confrérie des assassins. Ratohnaké:ton avait grandit et avait maintenant dix-sept ans. Il avait prit en taille, en muscles, et il avait murit du mieux qu'il pouvait. Malgré cela, il n'avait tué aucun templier qui était désigné dans la cave de sa maison. Il ne faisait finalement que s'entraîner, tentant de récupérer le retard qu'il avait cumulé, tentant de combler ce fossé entre sa puissance et celle de son père. Et, un jour, alors qu'il s'entraînait Achille descendit le voir pour lui donner une dague à corde, de quoi l'aider dans sa quête. Cette nouvelle arme associée aux lames secrètes qu'il avait reçu depuis quelques temps et à sa tunique, il semblait être enfin prêt. Malheureusement il n'eut pas le temps d'y réfléchir qu'on frappait à la porte. En remontant, il ouvrit et là, devant lui, se tenait son ami d'enfance : le même garçon qui avait échappé à un ours, devenu un homme. Cependant l'ambiance n'était pas joyeuse, il venait lui annoncer que les hommes blancs tentaient de les renvoyés de leurs terres, les Mohawk risquaient de perdre leur vallée ! Et le responsable avait un nom : William Johnson, un templier. Plantant une hache dans l'un des poteaux de la maison comme le voulait sa tradition, il partait officiellement en guerre. Sa quête venait tout juste de commencer alors que la Révolution se profilait à l'horizon, le changement était en marche, il lui fallait maintenant accomplir son destin...

Aucun test.



Dernière édition par Connor Kenway le 07.02.13 20:46, édité 8 fois
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Citation :
Bear Paw (couteaux) :
Ceci est une technique basique basée en fait sur les ours. En effet, grâce à ses nombreuses chasses, ce jeune indien a pu observer à plusieurs reprises les dégâts que les ours infligent à qui n'est pas assez agile pour éviter leurs griffes. En se basant sur cela, il met de petits couteaux entre ses doigts pour frapper son adversaire, tel un ours.
Nécessite 130 nrj.
Inflige 100pv puis 25pv / tour.

Citation :
Attack of the Wolf (couteaux) :
Sur le même principe que la patte de l'ours, Connor va mettre cette fois des couteaux entre ses doigts, de chaque main, pour attraper violemment son adversaire au niveau du torse et du dos. Cela nécessitera donc un petit pas de côté, histoire de se retrouver face à l'un des flancs de l'ennemi.
Nécessite 265 nrj.
Inflige 240pv puis 60pv / tour.
Indivisible.

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