• Description mentale : Décrivez votre personnage mentalement (personnalité, ...) en un minimum de 5 lignes. N'oubliez pas les défauts et faiblesses (les femmes, les jeux, ...) et appliquez vous pour que la découverte de votre personnage soit un plaisir. N'oubliez pas que vôtre présentation est notée.

Dès son enfance, Ulfric était une personne tout à fait respectable, l’étudiant parfait, poli, et bien éduqué. Cela venait surement de ces origines… sa mère était écrivaine, et son père banquier. Il était une personne plutôt joviale, calme, et patiente. Cependant, pour de raisons obscures, surement de la jalousie, Ulfric était rejeté par ses amis… ce rejet le poussa à devenir malicieux, en trompant de nombreuses personnes de la ville. Il se nourrissait du dégout des autres personnes.

Puis il grandit… et se rendit compte que ce qu’il faisait était mal. Il devint alors une personne généreuse, sage, et courageuse. Il ne peut pas céder à une bonne partie d’échecs, ou à un combat. Son seul bémol, est la confiance, il n’arrive pas à la donner, plus en tout cas. Confiance est un mot qui a disparu de son vocabulaire.
Chaque année, il commence à la regagner, mais combien de temps cela durera ?


• Description physique: Décrivez votre personnage physiquement (habits, cicatrices, ...) en un minimum de 5 lignes. N'oubliez pas les défauts et faiblesses (les femmes, les jeux, ...) et appliquez vous pour que la découverte de votre personnage soit un plaisir. N'oubliez pas que vôtre présentation est notée.

Bien que pas très grand, Ulfric est très fort. L’épée ne pèse plus sur ses grands bras musclés. Il doit même quelque fois utiliser un espadon pour s’entrainer à la force. Il s’entraine dans presque tous les domaines possibles : endurance, apnée, sauts, et parfois même il utilise les maisons de la ville comme mur d’escalade.

Il a les yeux marron, des cheveux blonds, une petite barbe, des sourcils agressifs, et un petit nez. Il n’a pas à vrai dire une coupe de cheveux. Il ne se coiffe pas, et porte souvent une capuche. Il a une longue cicatrice sur le torse, qu’il s’est fait lors de l’explosion de sa maison. Un des débris de bois est rentré dans sa peau. Il a aussi une morsure de loup à la jambe, nous ne sommes jamais trop surs dans la frontière.

Tant qu’aux habits, il n’aime pas le simple. Ses habits préférés sont ceux qu’il confectionne lui-même. De ce fait, il porte une longue veste en peau d’Ours, avec une cape en peau de loup. Des bottes en fourrure de castor, et un pantalon marron foncé. Il garde autour de son cou et dans une poche les souvenirs de sa vie passée. À savoir le pendentif bleu saphir de sa mère, et la première pièce de monnaie de la ville. Il garde aussi l’horloge de son père.

Pour découvrir au mieux votre personnage, nous vous demanderons d'écrire son histoire en 20 lignes minimum. Enfance, adolescence et premiers amours, tout nous intéresse jusqu'à aujourd'hui (le moment où vous aller commencer votre Rôle Play).


Caneelind, Irlande Ulfric est né dans une famille très riche. Cependant, L’argent ne lui faisait pas le bonheur… Il lui manquait quelque chose, quelque chose qui donnerait un sens à sa vie. Allait-il devenir un simple banquier comme son père ? Non. Son avenir devrait être bien meilleur. Il dut alors mentir à ses parents. Il leur dit que « oui, je serais banquier, comme Père. » Alors qu’enfaite, son seul désir est de s’enrôler dans les troupes de la ville, de combattre les tuniques rouges. Il fit de ce rêve sa destinée.
Un peu plus tard, il eut un ami. Ami avec qui il apprit à tirer à l’arc. Toujours en cachette, il apprit l’art de la furtivité, et du vol à la tire. Mais quelques années plus tard, cet ami disparut…il s’éclipsa le jour même où les parents d’Ulfric, Walter et Aveleen, décidèrent qu’il devrait remplacer son père plus tard. C’est alors qu’il commença, à 12 ans, à apprendre la gestion, le tact et tous les principes de l’économie. Mais comme ceci était contraire à son rêve, il dut se procurer des professeurs. Qu’ils soient qualifiés ou non, il voulait quelqu’un qui sache répondre à ses besoins, et comme dans cette vie on n’obtient rien à moins d’avoir de l’argent, il dut payer de considérables sommes a ceux-ci. Il commença alors apprendre à manier l’épée, et à se battre à l’aide de ses poings. Bien évidemment, il devait mentir aussi ici, pour pouvoir recevoir son enseignement librement.


Mais un jour, un évènement tragique le secoua. Alors qu’il se baladait au marché de la ville, un des plus importants de toute l’Irlande, lors de l’anniversaire de ses 17 ans, des tuniques rouges surgirent de nulle part et massacrèrent la garde qui était aux portes, grâce à leurs baïonnettes et fusils. Son père et sa mère furent enlevés et tous deux jetés dans un carrosse avec un motif rouge en forme de croix. La foule s’agita très vite, les gardes avaient laissé rentrer toute un armée de Tuniques rouges. Ulfric le savait, ils n’étaient pas là pour se divertir, une colonisation allait avoir lieu. Dès que les Gardes avaient déserté l’arrière du carrosse, Ulfric se hâta d’aller leur parler. Mais le danger était de partout. Il courut alors après ce carrosse, et entendit son père crier tout en restant avec une voix très articulée

«Cours à la maison fils ! Je sais que tu m’entends ! Lis la note que je t’y ai laissé, et surtout… surtout SURVIS !»
Ulfric ne pouvait rien pour ses parents, il était désarmé, et seul. Il sprinta alors vers sa maison. Sa chambre avait une magnifique vue sur la ville toute entière. La ville (qui était une des seules qui résistait encore aux armées britanniques en Irlande) allait être assiégée et sa population massacrée…



Caneelind, 1770, Irlande
Sur la note bien gentiment posée sur la table de nuit de sa chambre, il était écrit qu’il devait fuir. Que son Père, avait insulté, et volé de grandes quantités de pièces d’or aux Britanniques. Il savait qu’il allait être emmené, puis exécuté. Il y avait, d’une encre plus récente, écrit que son tonton Willy, l’attendait en Amérique, plus précisément a Boston. Il se serait installé au Green Dragon Pub et que ce serait là-bas que son tonton lui montrerait les personnes à éviter : Les Templiers.

La voie pour sortir de la ville était bloquée par les soldats, et deux autres attendaient Ulfric devant la porte de sa maison. Il ne restait qu’une solution. Cela relèverait du suicide, mais il devait sortir par la fenêtre, et plonger dans l’eau, en direction du port.
Il n’avait pas le temps pour désespérer, ou pleurer la mort certaine de ses parents, il devait fuir. Il garda quelques souvenirs de sa maison, puis renversa un bidon de poudre à canon, alluma une petite mèche, qui y était reliée, remonta a sa chambre, et sauta par la fenêtre. La chute sembla durer une éternité, alors qu’en réalité elle ne dura que 5 secondes. Il repensait à tout ce qui allait disparaitre. Les arbres et les maisons en cendres, Evelyn, sa petite copine, serait surement tuée… Mais il ne voulait plus y penser. Sa maison venait d’exploser, tout ce qu’il voyait devenait blanc, et ensuite, un vent d’une puissance divine le frappa. Sans le souffle de l’explosion, il serait surement mort, écrabouillé par la hauteur.

Arrivé au port, il monta à bord de l’Argo2, un navire colonial comportant 5 voiles, 60 canons, et un regroupement des meilleurs marins de toute l’Irlande. Il mit ses talents de persuasion en action, il se présenta, fils du banquier de la ville, et ordonna le départ de l’Argo2 vers Boston. Le voyage fut terrible, les marins furent atteints du scorbut, et de nombreux en moururent. Cependant, il prit un certain plaisir. L'odeur de l'océan lui inspirait un sentiment de liberté. Le va et vient des vagues offrait un son incomparable, et le reflet du soleil sur l’eau le faisait rêver. Enfin, après des semaines de voyage, la vigie, du haut de la hune cria «TERRE !».
La souffrance était terminée, ils étaient arrivés !



Boston, Mars 1770, AmériqueBoston était une ville à couper le souffle, mais une importante population était contrôlée par les tuniques rouges. Ce 5 Mars 1770 n’était pas un jour à oublier, c’était le jour où il était arrivé dans un territoire totalement inconnu. Puis il alla, accompagné de James Caldwell, un marin qui était à bord de l’argo2, visiter le centre de la ville. Boston était une ville plutôt paisible, et le marché contenait tout ce que l’on pourrait nécessiter. Il fit la rencontre d’un certain Christopher Monk, un adolescent errant qui lui montra les petits secrets de la ville. Ulfric, James Caldwell, et Christopher Monk se dirigent donc vers King Streets, ou le bruit de la foule se faisait entendre. Mais à peine ils réussirent à se faufiler au milieu de la foule que les troupes britanniques leur tirent dessus. James et Christopher sont atteints mortellement, et un homme portant un tricorne, commanda à un des gardes de tirer sur un petit adolescent qui se trouvait sur un toit, à côté du corps d’un défunt tireur. Ce tireur n’était pas mort par mort naturelle, l’ado l’avait tué, et l’homme qui le pointait était un templier. Il le savait, il avait été averti dans un rêve, il avait déjà vécu cette scène.
Puis ce fut la dernière chose qu’il vu. Il n’entendait plus, ne sentait plus ses jambes, ne pouvait pas dévier son regard, et pourtant, il courrait derrière ce jeune. Le temps semblait s’être ralentit, et tout d’un coup, il avait quitté la ville. Il se trouvait dans une contrée sauvage que l’on nomme La Frontière.



La Frontière, 1773, AmériqueIl y passa 3 ans, en survivant grâce à la chasse. Les arbres ne manquaient pas, l’eau non plus, sans parler des daims, des chevreuils cerfs et faisans qui y avaient élu domicile. S’il cherchait liberté, il savait ou la trouver aujourd’hui. Mais la solitude lui déplaisait, et il commençait a sentir un manque de personnes avec qui parler. Mais il devait sortir de l’ombre. Et donc, encore une fois, il courra en direction de Boston, cherchant un but à sa vie. Mais a la moitié du voyage, (c’est ce qu’il en estimait) il dû s’arrêter car une troupe de tuniques bleues, qu’il n’avait jamais vu avant, lui faisait face. Il décida de ne pas les tuer, ignorant ce qu’ils étaient, et s’échappa dans les arbres. Plus loin, il trouva un petit port, ou il aperçût un bateau en épave. Plus haut, il y avait une maison, et de cette maison sortit un jeune homme qui lui rappelait quelque chose. Il portait des habits extravagants, magnifiques, une capuche aux dimensions anormales et était armé. Sans réfléchir, il courra vers lui, et lui cria : «NOUS NOUS SOMMES DEJA VUS !» L’homme semblait ignorer ce que Ulfric voulait dire… une planche près de la maison indiquait le lieu : Domaine Davenport, Maison d’Achille. Il lui expliqua la situation, se présenta, lui fit comprendre qu’on lui avait dit d’éviter certaines personnes appelées Templiers, et bien sûr lui dit qu’il passa 3 années à le chercher, dans la forêt, sans croiser aucun humain pour autant, ce qui est très rare. Ulfric lui dit aussi qu’il savait qu’il était un assassin, et qu’il voulait rejoindre leurs rangs.
Ce fut ainsi que finalement, il rejoint les chasseurs de Templiers, les Assassins.

Le test role play sera donné par le Staff, merci d'attendre.

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