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Toutes les rues mènent au port...

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Elsa Suli
The Perfect Silent Blue
Elsa Suli
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MessageSujet: Toutes les rues mènent au port... Toutes les rues mènent au port...  Empty14.03.13 23:54

Elle sortit de l’endroit connu et reconnu par chaque mercenaire du continent, devant le regard de chaque individu présent. Les joueurs de cartes s’étaient arrêtés dans leur élan, la dame aux habits pittoresques avait détourné le visage, et se levait pour se rendre au bar, les autres avaient levé leur bout de nez. Après une minute de silence, on entendait de nouveau le piaillement de chacun : les verres qui se percutent, les pièces empilées qui dans un mouvement malencontreux d’un joueurs, tombent à terre et s’éparpillent sur le sol. Elle hésita à se retourner, ne serait-ce que pour garder en mémoire le sourire du chef suprême, ce qui lui aurait apporté un peu plus de gaieté dans cette mission, mais elle se ravisa, elle avait déjà absorbé dans sa mémoire ses quelques mimiques et il devait dès à présent être très occupé à prendre en charge ce jeune mercenaire audacieux et courageux.

Elle rattrapa la pièce du devant, les esprits s’échauffaient au niveau de la table où deux nouveaux civils s’affrontaient au bras de fer. Elle tourna sur la droite pour questionner l’aubergiste qui se trouvait derrière le bar, peut-être allait-il lui donner plus d'informations. L’homme devait avoir la quarantaine, un tablier cachait une belle tunique violine dont les manches étaient retroussées. Elsa l’entendit parler aux deux paysans qui se trouvaient accoudés au bar, tout en essuyant un verre. Il souffrait d’un léger bégaiement qui le faisait volontairement rougir. Une longue barbe rousse retombait sur sa poitrine, il regardait Elsa qui s’approchait d’un pas ferme et lui dit :


- En..En, en quoi pe. pe.puis-je ve.ve.vous aider ?

Elsa vit, à la place de son visage, une lanterne d’un rouge flamboyant qui s’illuminait. Elle attendit qu’il s’approche un peu plus d’elle pour lui poser une question loin de quelques oreilles indiscrètes :

- Je venais juste me renseigner sur ce monsieur Hogan, quand est-il passé pour la dernière fois ? Lui demanda-t-elle

- Ne.ne.nous ne l’avons pas vu de.de.depuis de.de.quatre jours. Ha.ha.habi.bituellement il pe.pe.passe ch.ch.chaque jour et nous pr.pre.prévient tojours lorsqu’il pr.pr.prend le large, mais de.de.depuis qu’on lui a de.de.demandé de pe.pe.payer ce qu’il de.de.devait, il s’est.s’est.s’est envolé. dit-il en rougissant de plus belle

- Effectivement, et dernièrement vous ne l’avez pas entendu dire qu’il devait partir en voyage, ou s’éloigner pour une quelconque affaire ? répliqua-t-elle d’un air curieux

- R.r.r.rien mamzel’, je.je.je sais qu’il tr.tr.traîne du coté du pe.pe.port et qu’il aurait un.un.un co.co.commerce qui ca.ca.cacherait un autre co.co.commerce illicite. Il a également un.un.un bâtiment qui lui pe.pe.permet de.de.de faire des tr.tr.transactions frauduleuses, ajouta-t-il tout penaud.

- Merci pour ces renseignements Monsieur, bonne journée

Elle prit la direction de la sortie, pensive…l’aubergiste la regarda s’éloigner en s’essuyant consciencieusement les mains et finit par poser son torchon. Il devait être à présent quatorze heures, lorsqu’elle ouvrit la porte le ciel était toujours clair et dégagé, de gros et moins gros nuages de coton, de différentes formes, flottaient dans les cieux, le ciel bleu apparaissait maintenant irrégulièrement. Devant elle se trouvait ce fameux parc ou se dressait la statue du roi George III. Elle se dirigea vers un autre chemin, dépassant une église, puis passant devant un commerce, puis elle longea un quartier dont chaque demeure avait une clôture de bois peinte en blanc séparant chacune d’entre elle, pour s’engager ensuite dans une rue plus passante. Elle arriva ensuite sur le pont de bois ou elle s’était arrêtée pour admirer la vue à l’allée. Le pont avait une allure très vieillotte, il faisait vingt mètres de long, avec un sol où chaque pas risquait de traverser une planche, mais Ely’ était dans ses pensées. Elle enjamba un morceau de bois affalé au milieu du passage et poursuivit sa progression tout en réfléchissant

« Il faut que je repasse à l’auberge prendre quelques provisions et demander au fils de l’aubergiste de m’amener Enola » se dit-elle

Ely’ marcha encore un long moment, du moins lui sembla-t-elle. Au loin, elle entendit le hurlement de plusieurs chiens qui dépassait en intensité les bruits des marchands ambulants. Elsa admira quelques propriétés, toujours dans le but de trouver la perle rare qui lui donnerait envie d’avoir un pied à terre. Elle déboucha enfin dans la rue où se trouvait la taverne dans laquelle elle s’était installée depuis une semaine. Elle passa la porte, personne, elle entendit le bruit de vaisselle derrière une porte sur la gauche du bar. Elle s’introduit dans la pièce. Derrière un mont de marmites, d’assiettes, de verres et de couverts, s’activaient l’aubergiste et sa femme ainsi qu’une jeune fille aux longs cheveux dorés, qui devait être leur fille. Gênée de s’être immiscer dans cette arrière-cuisine sans y être invitée, Elsa sentit son visage s’empourprer

- Excusez-moi de vous déranger, je dois me rendre près du port pour une affaire. Comme le chemin est assez long, j’aimerai pouvoir disposer de ma monture et si possible vous acheter quelques provisions car je ne sais pas combien de temps je serai partie.

- Pas de problème, je vais appeler mon fils pour qu’il vous conduise jusqu’à la grange où se trouve votre cheval, très belle monture d’ailleurs. Ma femme se chargera des provisions, je vous laisse voir avec elle ce qu’il vous faut, vous réglerez plus tard, ne vous inquiétez pas. Dit-il d’un ton jovial.

- Je vous remercie. Pour les provisions, je laisse votre épouse me les préparer, je ne suis pas difficile, il suffit de prévoir pour deux jours, cela devrait me satisfaire.

Elle retourna sur ses pas, et entendit au loin les cris du propriétaire qui appelait le fiston. Cinq minutes après, elle entendit des bruits de pas précipités, le fils arrivait. Il était habillé d’une tunique noire et d’un pantalon en toile beige. Il était d’assez haute taille, légèrement chauve avec une cicatrice qui lui entaillait la partie gauche du visage. Il entama la conversation :

- Venez, je vais vous conduire à votre monture, elle est prête à partir.

Elsa le suivit en passant par l’arrière de l’auberge et ils arrivèrent près d’une grange transformée en un lieu pouvant accueillir une vingtaine de chevaux et au moins deux ou trois calèches. Enola semblait reposée, elle lança un petit hennissement à la vue de la cavalière. Son poil était magnifique, il venait sans doute d’être brossé. La selle était déjà installée. Ely’ prit les rennes pour le faire avancer et dit au jeune homme

- Je vous le laisse encore une minute de plus, je récupère le sac de provision auprès de votre mère.

La minute d’après, Elsa était de retour, elle remercia encore une fois le garçon, traversa la petite cour avec Enola et arriva sur le devant de l’auberge. La mission débutait.

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Elsa Suli
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MessageSujet: Re: Toutes les rues mènent au port... Toutes les rues mènent au port...  Empty24.03.13 17:32

Elsa avait atteint un espace immense, une place où se trouvait une foule qui entourait quatre ouvriers qui essayaient d’ériger une statue d’un homme montant à cheval. L’endroit était animé comme une fourmilière. Non loin, deux immenses bâtiments sortaient de terre, maintenus par des échafaudages de bois. Elle fit un long détour par la berge du fleuve, afin d’éviter d’entrer dans cette cohue, puis traversa des jardins pour rejoindre une rue perpendiculaire qui coupait à angle droit un autre chemin. Elsa se surprit alors de voir tant de pauvreté dans cette grande ville, en effet, elle croisa une vieille dame qui portait des guenilles discordantes, posées les unes sur les autres. Que faisait-elle avec autant de couches d’habit sur ces vieux os ? Il ne faisait pourtant pas froid. Cet amoncellement de tissus, déchirés et crasseux, laissait par endroit resplendir un bout d’étoffe ou un bout de dentelle qui avait survécu au temps et à la saleté. D’un chapeau informe entouré d’un ruban rouge, surgissait un visage bouffi dans lequel deux yeux vert émeraude allaient d’un sens à l’autre sans jamais s’arrêter. Une bouche mince et tordue, à moitié ouverte sur quelques dents dans un piteux état, laissait passer un morceau de langue rouge vermeille. Elle décocha une œillade à Elsa, qui fut légèrement horrifié par tant de laideur. Elle était assise à même le sol et entre ses jambes on y apercevait un quignon de pain noir et un couteau dont le manche était en bois.

Elsa continuait à avancer,
« comment peut-on arriver à tant de misère, comment peut-on se laisser ainsi guider par la médiocrité et ne pas essayer de se battre ? » Elle qui avait eu une enfance difficile, elle n’arrivait pas à comprendre que certaines personnes n’essayait pas de remonter la pente et se frayer un chemin vers la liberté et l’indépendance.

Ely’ avait gaspillé beaucoup de temps avec ces vaines songeries. Elle s’en voulut. Ely’ laissa le centre ville à sa gauche, elle longea le fleuve, gagnant l’église, évitant l’agitation du marché pour atteindre l’entrée d’une autre rue. Deux heure plus tard, elle se retrouvait dans un endroit éloigné de toute civilisation. Elle devait, à présent, franchir le fleuve, pour ensuite remonter la berge sur une centaine de mètres. Elle descendit le long d’un chemin, s’arrêta et sauta de son cheval. Elle se pencha et examina très attentivement la terre retournée : cinq, six chevaux étaient passés par là.

« Bizarre » se dit-elle, « ce chemin est perdu au fin fond de nul part. »

Elle remonta à cheval et reprit la route. Un peu plus loin, elle aperçut un morceau de tissu qui flottait au vent accroché à une branche. Elle avança encore un peu plus, et aperçu sur la terre des touffes de cheveux sanglantes, des morceaux de chairs arrachés, accrochés aux pierres de la route pour arriver à un ruisseau de sang séché et noirci. Elle vit un homme étendu sur l’herbe, sous un grand arbre, couvert de terre battue, allongé sur le ventre, à moitié scalpé. Elle descendit de nouveau de sa monture, elle aperçu sur le dos de la victime de longues traînées de sang, ou saillaient les omoplates complètement mises à nus. Délicatement, elle retourna le corps, le visage de l’individu avait disparu, nez, yeux, bouche, tout avait été déchiré, à la place se trouvait une blessure béante rouge sombre. Il ne s’agissait pas d’un scalp fait par amérindien, elle en aurait mis la main sur le feu. Elle aperçut, dans son poing droit, un morceau de papier, elle réussi à l’enlever en déchirant une partie qui resta dans la main de l’homme. Il s’agissait d’une affiche Wanted, que l’on pouvait retrouver dans la taverne des mercenaires. S’agissait-il l’un des siens ? C’était-il fait prendre par une horde de soldats, ou tout simplement par la bande de brigand dont le chef n’était autre que celui que l’on voyait sur l’affiche. Elle prit celle-ci et la glissa dans l’embrassure de sa tunique, lorsqu’elle aurait terminé sa mission, elle montrerai ce morceau de papier à Hisashi, peut être qu’il pourrait alors identifier la victime et serait-ce peut être sa prochaine mission : retrouver le meurtrier ? Elle attrapa l’une des couvertures qu’elle avait attachée sur le cordage monté sur Enola, pour envelopper le corps. Les doigts avaient étaient éclatés et le reste du corps écrabouillé. Elle se devait de rapporter ce corps dans le prochain bourg qu’elle traverserait avant d’arriver au port, pour que cet homme est au moins un endroit loin des rapaces qui commençaient à voler au dessus de son cadavre. Elle monta le corps sur sa monture, puis remonta Enola, avança au trot puis très vite au galop. On entendait le martèlement grave des sabots sur le chemin et le léger sifflement de la brise qui caressait le visage de la mercenaire, visage impassible et dur, un visage de pierre.

Arrivée au sommet d’une colline, elle fouilla du regard la plaine, la paupière mis close pour rendre la vision plus aiguë, elle vit au sud-ouest un petit hameau de maisonnettes, le soleil pointait à l’est. D’une pression de ses genoux, elle remit sa monture en marche. Parvenu à cent mètres environ de la première habitation, qui semblait être une boutique, elle mit pied à terre. Tenant Enola par la bride, elle avança silencieusement. Au loin, un hurlement aigu de loup déchira l’air. Elle toqua à la porte, une femme à la couleur de peau chocolat, enveloppée de tissus colorés, ouvrit la porte étonnée de recevoir une visite :


- Excusez moi de vous déranger, je suis sur le chemin du port et j’ai découvert ce cadavre sur la route

D’un regard horrifié, la dame d’une quarantaine d’année recula d’un pas et appela quelqu’un, il devait certainement s’agir de son mari. Elsa eut le temps d’apercevoir l’intérieur de la boutique et elle fut frappée par les inconvénients de celle ci. L’obscurité était combattue par une multitude de chandelles, la pièce apparaissait comme une chapelle brillamment illuminée. De tout les côtés se tenaient des rayonnages où étaient entreposés des montagnes de tissus. Elle vit un homme vêtu de drap gris, frappant le sol d’une canne vieillie par le temps. Il s’inclina et son vieux visage jauni s’éclaira d’un sourire charmant. C’était un grand homme mince, dans les soixante ans, et la force de la voix émanant d’un corps si maigre, surpris Elsa

- Que pouvons nous pour vous ? Il vit sur la croupe du cheval, la forme d’un corps enroulé dans une couverture rouge. Elsa vit qu’il avait un geste défensif, il rapprocha sa main sur le contour de sa taille pour sentir le poignard qui s’y tenait.

- Ne vous inquiétez pas, j’ai découvert cet homme en passant par la colline, je suis sur une affaire, et ce corps m’encombre. Je ne voulais pas le laisser sur place, des vautours commençaient à le survoler, il aurait était dans un piteux état, bien que son état actuel ne soit pas des meilleurs.

Le vieil homme, devant le visage enjôleur d’Ely’ fut confiant, il souleva un pan de la couverture et devant la face du mort il réprima un sursaut d’horreur, pour reprendre assez vite son sang froid

-Descendez le de votre monture, je vais prévenir l’ordre et faire le nécessaire.

- Je vous remercie, comme il commence à se faire tard, pouvez vous m’indiquer un endroit où prendre un repas, et tant qu’à faire et si l’on veut me poser des questions sur le lieu ou j’ai retrouvé cette victime, vous indiquerez que je suis entrain de souper là bas. Je ne repartirai que dans deux heures.

L’homme lui indiqua une taverne, Elsa le remercia de son aide. A quelques maisons de là, Ely’ repéra une façade de bonne apparence, à trois étages, que seule une enseigne de fer forgé, représentant un écusson, la distinguait des autres demeures. Elle descendit de son cheval, l’attacha à l’entrée puis poussa la porte de la taverne. La salle était plongée dans une demi obscurité. Les poutres du plafond bas étaient noircies par les fumées. Sur un sol de terre battue, une quinzaine de tables de bois, entourés de bancs de longueur inégale, constituaient tout le mobilier. Ça et là, quelques chandelles illuminaient la pièce. Des paysans et des mendiants se chauffaient devant la cheminée où brûlait des bûches de bois et quelques papiers, formaient un rassemblement de toute origine. L’aubergiste était entrain de s’activer aux fourneaux, il remuait un bâton dans le grand pot ou bouillonnait un mélange épais. Un homme s’approcha de lui et reçut une sorte d’écuelle pleine du mélange qui sortait de la marmite accompagnée d’un morceau de pain noir. Sur une table s’accumulaient des pots de vin, l’un d’un homme assis tout autour de celle-ci se leva en titubant, poussant un autre homme. Non loin était assise une femme au visage enflé dans lequel les yeux paraissaient encastrés. Une palette de fards couvrait son faciès en couche épaisse. Le corps disparaissait dans une robe de mousseline jaune à pois vert. Un collier de perles noires descendait pour atterrir dans le creux de sa généreuse poitrine. Ses doigts boudinés ressortaient de ses mitaines qui suivaient avec le reste de sa tenue. Ses pieds débordaient de ses souliers usés et distendus comme des savates. Ses yeux étaient sans cesse en mouvement, froids comme ceux d’un reptile prêt a attrapé sa proie. A ses pieds, et à côté d’elle se tenaient des hommes qui attendaient pour recevoir ses faveurs. Elsa eut un haut le cœur en voyant tant de dépravation.

Elle héla le propriétaire et passa commande :

- Une assiette de soupe, un morceau de pain et une cruche d’eau s’il vous plait.

L’aubergiste réclama de suite le paiement de la commande.Quelques minutes après, elle vit arriver la pitance d’où se dégageait une odeur âpre. La première cuillerée la fit presque chanceler, elle du retenir un haut-le-cœur qu’elle se débarrassa en buvant une gorgée d’eau. Elle décida de procéder autrement. Elle prit son courage à deux mains, porta le récipient à sa bouche et avala son infâme contenu, et reprit un autre verre d’eau fraîche...

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